Histoire:
L'existence d'un vampire n'a rien à envier à une autre espèce. C'est ce qu'a toujours pensé Kenjirô, depuis qu'il est tout petit. Il vivait dans un manoir avec sa famille et ses frères. Ils se cachaient, toujours, ne parlaient à personnes et tuaient tout les soirs des humains pour se nourrir. Il ne voyait pas en quoi être un vampire était si bien, si noble et si avantageux. Alors, curieux, un jour il quitta sa demeure pour s'aventurer chez les humains. Il découvrit leur façon de penser et de vivre. Il les vit s'entre-tuer, mourir de maladie et de vieillesse. Il compris à quel point ils étaient faibles et sans pouvoir sur la vie. Alors que lui, étant né vampire, pouvait vivre sans jamais tomber malade, pouvait se couper sans avoir à attendre très longtemps pour que sa peau se régénère et gardait sa beauté à travers les âges. Il pouvait vivre aussi beaucoup plus longtemps. En soit, il avait tout pour être plus chanceux qu'un Homme. C'est par ces expériences qu'il comprit sa valeur et qu'il devint fier d'être vampire. Ne voulant pas vraiment se mêler aux humains, il créera un bar pour les vampires, connu seulement par le bouche à oreille de cette espèce. Et chaque pauvre humain tombant malencontreusement dans son entre fini par être le plat principal de sa sauvagerie.
RainbowRP, Posté le samedi 24 mars 2018 13:23
:Jun:
Jun ne s'état jamais réellement intéressé aux histoires surnaturel, aux mythes ou encore au contes. Il ne voyait pas l'intérêt de croire en quelque chose qu'on n'avait jamais vus ou entendu comme Dieu par exemple. Il trouvait ça juste stupide à vrai dire. Mais il avait plusieurs films sur les vampires parce que oui, le gourmet aimait beaucoup le cinéma. Donc dès qu'il avait un troue, il allait passer son temps livre au cinéma même si il n'y avait aucun film qu'il voulait vraiment voir. Alors il savait que les vampires étaient des créatures des ténèbres et qu'ils possédaient des capacités supérieur aux humains allant de la force, à l'odorat, à l'ouïe, à la vitesse et même la beauté. La dessus les films ne mentaient pas puisque tu étais d'une beauté irréelle. Et vus comment tu l'avais attrapé contre toi ça ne pouvait être une rapidité et une force d'un humain lambada. De plus, tu ne semblais pas sensible au soleil vus que tu te baladais tranquillement en plein jour sans ombrelle ou chapeau pour protéger ta peau laiteuse. Alors après t'avoir regardé quitter la pièce, il appela ses investisseurs et ses usines pour les mettre au courant de la fabrication d'un nouveau bonbon et qu'il avait déjà trouvé un acheteur potentiel pour les vendre. Alors il raconta à ses usines qu'il allait sans aucun doute les voir avec son nouvel associé dans quelques jours. Une fois la paperasse rempli, il quitta à son tour son bureau pour rejoindre son petit chez lui pour se faire un repas digne de lui avant de partir ce coucher en vus de l'heure.
Vus qu'il n'avait de compte à personne, il se réveilla seul vers les neuf heure du matin en papillonnant doucement des yeux. Il serait bien resté en plein milieu de ses draps mais une petite voix le rappela à l'ordre lui disant que tu allais sans aucun doute venir le voir aujourd'hui. Mais ils n'avaient jamais conclus d'une heure alors il ne savait pas quand tu seras là.. Et puis ils allaient sans aucun doute commencer la recette aujourd'hui. Dès qu'il faisait un bonbon, il était toujours le premier à créer la recette et faire les premiers exemplaires pour qu'ils soit parfait puis par la suite, il les envoyaient à l'usine pour qu'ils fassent de nombreux jumeaux. De plus, il préférait cuisinez chez lui dans sa cuisine quand dans celle de son entreprise alors doucement, il tapota sa table de nuit pour trouver son téléphone avant de s'arrêter en se rappelant qu'il n'avait pas ton numéro.
" - J'aurais du lui dire de venir directement ici .. "
Alors encore un peu dans les vapes, il se redressa pour se diriger par la suite dans sa salle de bain afin de se laver, se chouchouter et se préparer. Une fois habillé, il descendit les escaliers pour rejoindre la cuisine avant tout.
" - J'espère qu'il n'est pas déjà au bureau.. Dans le pire des cas, on lui dira sans doute que je ne suis pas là. " fit-il en haussant les épaules, prêt à préparer son petit déjeuner.